Quand Noël révèle les tensions familiales

Noël, son sapin, ses cadeaux, ses préparatifs et ses réunions familiales !!!


Parfois attendues avec plaisir, parfois redoutées car les fêtes familiales de fin d’année peuvent être le lieu de cristallisations de nombreuses tensions entre parents et enfants, entre frères et sœurs, entre familles et belles-familles.


Alors oui, tout cela est bien banal, pas de quoi en faire un plat. !


Mais la question de la Dynamiteuse à se poser en ce mois de décembre est la suivante : Qu’est-ce que ces tensions à la veille de noël peuvent m’aider à comprendre de moi ? Car si la situation familiale devient inconfortable au point de générer du stress, de l’agressivité et toutes les incompréhensions qui en découlent, je devrais peut-être m’efforcer à poser un regard neuf sur la situation (au lieu de me focaliser sur le « qui a tort qui a raison »).

Prenons l’exemple d’une Dynamiteuse qui souffre dans sa relation à ses parents/beaux-parents et tout particulièrement à l’approche des fêtes où les attentes sont fortes. Tant que je souffre dans ma relation à mon parent, cela est le signe que je ne m’occupe pas assez de moi. Nous sommes souvent enchaînés à notre famille ou aux coutumes et attendus des uns et des autres. Il est bon, je pense, de se souvenir qu’on a le droit de laisser ses parents/ beaux-parents tranquilles pour être plus à l’écoute de nous-même.

Laisser l’autre tranquille, avec ce qu’il est, sa vérité, ses manques, ses défauts, ses névroses, ses ratages. Laisser l’autre tranquille pour être plus à l’écoute de nous-même !

Car lorsqu’on n’est pas suffisamment à l’écoute de nos besoins profonds, il est naturel de se sentir victime de ce que nos parents/beaux-parents nous imposent. Les cartes du jeu que j’ai en mains sont ce qu’elles sont. Inutile de chercher à jouer avec le jeu d’un autre !

Jouer le jeu, c’est accepter la situation avec ses points forts et ses difficultés et c’est trouver comment laisser l’autre tranquille là où il est sans jugement, sans colère, sans attente pour se centrer sur soi et nos besoins profonds. Dès lors que je suis centrée, les attentes – aussi fortes soient-elles d’autrui – deviennent des informations à traiter et non plus une menace !

Quand Noël révèle les tensions familiales

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